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(Cliquez sur ces drôles d’oiseaux)

Pas de quoi de fouetter un chat et encore moins un lapin !

Pourtant il y en avait du p’tit lapin à Pouzauges, 12 se sont inscrits sur cette énième édition de la Rando des Collines , que je qualifierais de « moyenne ». Pardon de passer du coq à l’âne, mais comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus, il manque 2 lapins « Dus et Frederic » (moins matinaux). A moins d’être myope comme une taupe, votre œil de lynx verra aussi qu’il n’y avait pas beaucoup de lapin pure race Gaubretièroise... Seraient-ils en voie de disparition ???

 Par contre, je ne m’attendais  pas à voir le frangin arriver un dimanche matin à 7h30 au clapier, tel un chien dans un jeu de quilles... « Ne prends pas la mouche frèro », mais d’habitude le Dimanche t’es quand même plus du genre à dormir comme un loir ou une marmotte qu’à te lever comme les poules... Mais quelle mouche l’a donc piqué ? Est-il malade comme un chien pour le faire tourner bourrique de la sorte ?...Pour y répondre Il m’a fallu lever ce lièvre... Mais finalement je n’ai même pas eu besoin de lui tirer les vers du nez, les verres non plus d’ ailleurs, puisque justement, il n’avait pas bringué la veille... même si je sais d’avance qu’il ne court jamais deux lièvres à la fois, c’est une réponse à vous donner le cafard ! En tous cas ça m’a laissé muet comme une carpe tout du long de la route.

Parlons-en de la route, « Pouzauges » c’est mieux par Chambretaud ou par les Herbiers ?  L’Hubertaumobile a décidé à la patte d’oie, « ce sera par Chambretaud ! » Il est peut-être têtu comme une mule l’Auvergnat, mais il est malin comme un singe, pour ne pas dire rusé comme un Renard ! 

 A l’heure du départ et 5€ plus tard nous voilà sur nos montures par 0°C. « Un froid canard » d’iront ceux qui n’ont pas connu les -11° de Dimanche Dernier. Pour les autres, nous étions presque comme des coqs en pâtes, même pas la chair de poule !

 Bon, revenons à nos moutons, il est temps de prendre le taureau par les cornes. Ce n’est pas pour chercher des poux aux organisateurs mais appelons un chat un chat, sans même avoir une mémoire d’éléphant, s’inscrire sur cette sortie c’était pour certains participants comme aller se jeter dans la gueule du loup.... Je m’explique, les tracés étant sans recherche particulière, bien que très bien fléchés, ils restent connus et archi connus , mais malheureusement pas toujours reconnus de tous face au potentiel topographique existant dans le pays de Pouzauges. Vous comprendrez donc qu’ il y a anguille sous roche pour ces participants qui se réinscrivent en espérant pouvoir enfin nager comme des poissons dans l’eau. (Remarquez ils y étaient presque avec la boue) Pour faire taire ma langue de vipère je dirais ceci ; Pas de lézard ! Tout est bon dans le cochon à partir du moment où l’on essaie de comprendre les choix et les raisons des organisateurs....Autrement dit, d’une organisation à une autre il n’y a qu’ un pas, le tout étant d’essayer de comprendre la vraie distance séparant la direction prise par les organisateurs...Et enfin pour noyer le poisson je dirais encore qu’il n’y avait peut-être pas de quoi être gai comme un pinson sur cette rando, mais pas de quoi non plus bailler aux corneilles ou gober les mouches, car la boue a eu raison de notre physique à partir du 30ème Km. Nous étions lents comme des escargots et surtout fait comme des rats ! Et puis si après ça vous pensez toujours être le dindon de la farce, c’est que votre cervelle de Moineau frise comme un mouton (Comprenez : friser le ridicule et suivre comme un mouton) Sportivement parlant, les 35 Kms auront été suffisants pour tous les p’tits lapins présents ce matin. A l’arrivée, malgré une faim de loup, p’tit sandwich contre le plateau-repas proposé, il a donc fallu attendre le retour à la maison pour manger comme un cheval. Heureusement que les bières offertes par Jérôme et le frangin m’ont callé l’estomac.

 J’allais oublier de parler de la désormais habituelle et très attendue « Cascade Dominicale », les fourmis dans les jambes, fier comme un paon, une fois de plus il est monté sur ses grands chevaux et a fini par goûter le plancher des vaches sur l’un de ces chemins boueux à souhait, et tout ça en me faisant une queue de poisson. Sale comme un cochon, il est reparti doux comme un agneau, en canard boiteux mais sans larme de crocodile.... Qui est-ce ? Vous donnez votre langue au chat...C’est Bebèrt bien sûr !

 En espérant avoir fait mouche, j’arrête de chercher la p’tite bête avant de vous faire devenir chèvre ! Mais je peux déjà vous dire que j’arrêterais d’écrire mes conneries quand les poules auront des dents. Et puis si j’ai réussi à vous mettre la puce à l’oreille, prenez votre plume et à vos commentaires. Canardez-moi de mots Non d’un chien ! Sans être peau de vache, il faut juste que l’on sache si c’est du lard ou du cochon... Sur le clavier, vous n’avez pas l’excuse d’une écriture en pattes de mouche, d’un chat dans la gorge , d’une écriture de cochon ou d’un parlé comme une vache espagnole, il vous faut juste savoir taper les lettres dans le bon ordre...ou presque, l’essentielle étant de se comprendre...

 (Mille pattes d’ excuses pour les animaux oubliés)

 Allez, vous avez bien mérité une petite pause vidéo de 4 minutes 15 secondes, offerte par Ron :

 

Merci Ronan 

 

Tous à Chauché dimanche prochain !

 

Fred.

 

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