AHVTT
Samedi, vu le nombre de commentaires proposants des sorties pour le dimanche 18 août 2013, je me suis lancé en proposant une sortie depuis les Herbiers, la mégalopole située à une dizaine de kilomètre au sud de votre petite bourgade.
Vu le grand nombre de commentaire sur le forum de l’été ; rubrique créé par fainéantise de notre webmaster qui ne prend même pas le temps de rédiger un article par semaine ; je ne m’attends pas à grand-chose. Cependant, notre Fresident, même en vacances s’investit et prévient qu’il sera présent. Evidemment, comme nous résidons dans le pays de la mogette, une horde de fayot répond également. Philippe et Bébert ne savent plus quoi faire pour rouler au coté des hautes sphères de l’AGVTT. 75% d’herbretais, face à 25% de gaubretièrois… Mais ils ont où ? Mais ils ont où ? Mais ils ont où les gaubretièrois lalalala la, lalalala la !
RDV pour un départ à 8h30, Fred arrive à 8h10, et constate que mes pneus ne sont pas gonflés… En plus, je suis en train de régler un problème de jeu dans ma roue arrière. Décidemment, chacun son tour. Un quart d’heure plus tard ; ils ne sont pas vendéens pour rien ; arrivent Philippe et Bébert.
Nous voilâmes parti pour un parcours vallonnés. Les Justices, Les Jarries, PDF, Chaffaud X2, Maha. Le départ fut dominé par Fred et Bébert. Philippe se remettant tout juste de sa montée du Tourmalet le vendredi précédent. Mais la montagne a tout de même des effets bénéfiques, il est le seul à avoir franchi le mur en fin de parcours. Pour atteindre ce haut lieu de la grimpette vendéenne, nous avons emprunté le petit chemin qui arrive en bas à gauche du « mur ». Bébert s’inquiète, « oh là, il va y avoir de la végétaion ! ». Je me lance, « non, c’est bon. AIE ! AIE ! ».
55 km et plus de 1000 mètre de D+ plus tard, et surtout l’horloge avançant, nous décidons de rentrer par la route plutôt que par le Bois Vert. Seulement voila, nos sorties estivales bitumeuses avec Bébert nous ont laissé des reflexes, de routeux. Au grand désespoir de Fred qui ne suivait plus, et semblait épuisé par le rythme. Il faut dire que cette sortie fut grimpante, mais pour se refaire une santé, le Fresident profite des descentes… de bières !